top of page
BYE BYE TIBERIADE 2.jpg

MAI 2024

BYE BYE TIBERIADE 1.jpg

BYE BYE TIBÉRIADE
Documentaire de LINA SOUALEM
Palestine-France-Belgique-Qatar, sortie le 21/02/2024, 1h 22

Avec Hiam Abbass…


Hiam Abbass a quitté son village palestinien pour réaliser son rêve de devenir actrice en Europe, laissant derrière elle sa mère, sa grand-mère et ses sept sœurs. Trente ans plus tard, sa fille Lina, réalisatrice, retourne avec elle sur les traces des lieux disparus et des mémoires dispersées de quatre générations de femmes palestiniennes. Véritable tissage d’images du présent et d’archives familiales et historiques, le film devient l’exploration de la transmission de mémoire, de lieux, de féminité, de résistance, dans la vie de femmes qui ont appris à tout quitter et à tout recommencer…


En 2020, Lina Soualem réalisait Leur Algérie, le film de son père, Zinedine Soualem. Voici celui de sa mère : la formidable actrice Hiam Abbass, exilée de son village palestinien de Deir Hanna (Galilée) à Paris dans les années 1980 pour exercer son métier et « cesser d’étouffer ». 
Le film s’ouvre par une initiation à la géographie invisible des frontières – « Ici, la Syrie, là, le Liban » – et s’arc-boute sur l’arbre généalogique du clan, les voix off mêlées des deux femmes, des images d’archives, une scène rejouée par la comédienne et une de ses sept sœurs. « N’ouvre pas les douleurs du passé », supplie l’actrice.
Est-ce vraiment du passé, ce road movie dans une mémoire enfouie détenue par quatre générations de femmes et qui résonne avec ce qu’on sait ? 
Sans relâche, Lina interroge Hiam, ausculte sa colère, convoque son tempérament (à travers des poèmes écrits par l’actrice dès ses 14 ans) et réussit avec une grande intelligence à faire passer au spectateur la notion de ce que peut être l’enfermement.


Le voyage bouleversant, riche de photos personnelles et de vidéos d'époque, permet de comprendre à l’échelle d’une famille, les conséquences de la Nakba. Franceinfo Culture

Sans relâche, Lina interroge Hiam, ausculte sa colère, convoque son tempérament (à travers des poèmes écrits par l’actrice dès ses 14 ans) et réussit avec une grande intelligence à faire passer au spectateur la notion de ce que peut être l’enfermement. L'Obs

En remontant les fils de son passé familial, l’actrice et réalisatrice filme de manière intime la douleur de la perte et de l’exil de tout un peuple au moment où celle-ci est réactivée par les événements à Gaza. La Croix
 

Retour.png
bottom of page