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NE A JERUSALEM (ET TOUJOURS VIVANT)

De Yossi Atia, David Ofek

Israël, 22 juillet 2020, 1h 23 - VOST

    

Avec Yossi Atia, Lihi Kornowski, Itamar Rose

  

Ronen, qui vit dans le cœur du quartier touristique de Jérusalem, invente une nouvelle forme de "visite guidée" : le tour des attentats de ces dernières années…

 

Voici un petit bijou, petit en apparence seulement. Profitez-en ! Positif

 

On aime ce subtil mélange de saveurs, tantôt poignant, tantôt tendre et cocasse, par petites touches. Femme Actuelle

 

Une chronique délicate sur les traumatismes du conflit israélo-palestinien. Le Parisien

 

Yossi Attia signe un premier film sensible, s’emparant avec justesse d’un sujet compliqué en s’appuyant sur des personnages charmants. Les Fiches du Cinéma

 

C’est ainsi que "Né à Jérusalem" devient vite, à travers l’autoportrait de l’auteur-guide et le portrait du spectateur-touriste (ému et non concerné), un petit croquis de l’individualisme israélien et planétaire, de sa fatalité, de son ridicule parfois attendrissant.  Libération

 

Étonnant sosie d’un Patrick Bruel jeune et replet, Yossi Atia se met en scène dans ce film où humour et mélancolie font bon ménage. La Croix

 

Ce premier long-métrage pour Yossi Atia (David Ofek en a déjà coréalisé deux) a bien des airs de documentaire. Et valeur de témoignage. Le Figaro

 

Ainsi le film trouve­-t-­il une place originale au sein d’une jeune scène israé­lienne (Hadas Ben Aroya, Nadav Lapid) pour laquelle le champ in­time est encore le meilleur biais pour évoquer par la bande des su­jets politiques brûlants. Le Monde

 

Film sur la résilience, Né à Jérusalem dessine le portrait touchant d’un jeune homme d’aujourd’hui - il pourrait d’ailleurs être français- dont les souvenirs d’enfance et d’adolescence s’enchevêtrent avec des actes meurtriers. Première

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Du 12 au 25 août

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