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Du 5 au 18 février 2025

 

JOLI JOLI

DIASTEME, ALEX BEAUPAIN

France, sortie le 25/12/2024, 1h56

 

Avec Clara Luciani, José Garcia, William Lebghil…

De Paris à Rome dans les années 70, le destin d’un écrivain fauché percute celui d’une star montante du cinéma. Leur chemin vers l’amour sera semé d’embuches, de quiproquos et rebondissements. Une comédie musicale et tourbillonnante !

 

Diastème et le scénariste/compositeur Alex Beaupain sont amis depuis la fin des années 1990 et n'avaient jamais vraiment travaillé ensemble. "Et puis un jour, nous avons décidé de nous y mettre" avec deux contraintes demandées par Diastème : « la première, ce serait un film où tout le monde s’aime et où personne ne meurt ; la seconde c’est le titre : Joli Joli, à la fois désuet et drôle, parfait ».

Le réalisateur Diastème passe donc à la comédie musicale grâce à dix-huit chansons inédites et sublimes − drôles, tristes, les deux en même temps − d’Alex Beaupain, et en projetant une surprenante troupe d’acteurs dans, entre autres, le Cinecittà romain des années 1970, délicieusement contrefait en studio.

Pour Diastème et Alex Beaupain, 1977 est une année charnière d'un point de vue culturel : il s'agit du moment où se télescopent la fin des hippies, les punks et le début du disco. "Il y a le plaisir du film d’époque, aussi. Dans la forme et dans le langage. Et cela permet un regard rétrospectif intéressant – parfois comique d’ailleurs, sur l’homosexualité, la place des femmes dans la société, ou l’importance de la culture ».

De plateaux de cinéma en chambres en ville, tout ce joli petit monde va se mentir, se quitter, se retrouver, sans cesser de chanter… Ce pimpant exercice de style penche plus du côté d’Alain Resnais que de Jacques Demy avec ses saynètes dignes d’une opérette et son univers visuel si vintage que l’on se croirait dans une bande dessinée.

 

Cette comédie musicale, dont le charme suranné rappelle les films de Jacques Demy, assume un style kitsch aux réjouissants faux airs de boule à neige dont le décor est une reconstitution colorée des années 1970. La Croix

Comme une parenthèse enchantée. Ou une friandise, ici servie par une distribution aussi bigarrée qu'enthousiasmante. Le Journal du Dimanche

Entre Paris et Cinecittà, au fil de l’année 1977, une poignée de personnages se rencontrent, se ratent, se courent après, avant que les bons couples ne se forment. Le tout en chansons et en couleurs vives. Un exercice de style sincère et assez charmant. Les Fiches du cinéma

Un petit théâtre emballant, tout de mélancolie pop, sur l’inconstance des sentiments (et du succès) où brille, particulièrement, Laura Felpin, version chantante de Giulietta Masina. Télérama

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