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Du 7 au 20 Octobre 2020

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NEVER

RARELY

SOMETIMES

ALWAYS

 

de

Eliza Hittman 


USA-GB, sortie le 19/08/2020, 1h 42 - VOST

Avec Sidney Flanigan, Talia Ryder, Théodore Pellerin…

Grand Prix du jury (Ours d'Argent) à la Berlinale 2020


Deux adolescentes, Autumn et sa cousine Skylar, résident au sein d'une zone rurale de Pennsylvanie. Autumn doit faire face à une grossesse non désirée. Ne bénéficiant d'aucun soutien de la part de sa famille et de la communauté locale, les deux jeunes femmes se lancent dans un périple semé d'embûches jusqu'à New York…


La genèse du film remonte à l’automne 2012, quand Savita Halappanavar, une dentiste de 28 ans vivant en Irlande et enceinte de son premier enfant, a commencé à faire une fausse couche et a été admise à l’hôpital, à Galway. Suite à des complications, son cas s’est aggravé mais on lui a refusé l’avortement d’urgence qu’elle demandait. Elle a développé une septicémie et est morte le 28 octobre 2012, une semaine après son admission à l’hôpital. 

 

Eliza Hittman a consulté plusieurs établissements pratiquant l’IVG, dont des branches du planning familial à New York et en Pennsylvanie, ainsi que le centre médical Choices, situé dans le Queens. Le film montre de façon réaliste toutes les étapes du parcours d’Autumn pour se faire avorter. Ainsi, pour entrer dans les cliniques de Manhattan et Brooklyn, les patientes doivent se soumettre à un contrôle de sécurité. Le long-métrage montre également les services d’aide financière, d’assistance sociale, médicale et autre qui sont tous assurés par des femmes pour des femmes. Par ailleurs, une assistante sociale a servi de conseillère sur le tournage et joue une version d’elle-même dans la scène qui donne son titre au film. 


Un drame dépouillé qui va droit au but. Télérama 

Récit d'une adolescence bafouée doublé d'une critique des mouvements anti-avortement américains, « Never rarely sometimes always », film indépendant très bien interprété par ses deux jeunes comédiennes, est à l'image de son héroïne : dur, silencieux, mais aussi très touchant. Le Parisien 

 

Malgré la charge militante de son sujet, Hittman écarte le spectaculaire pour une violence plus insidieuse: la résignation avec laquelle Autumn et sa cousine encaissent les multiples agressions dont leur féminité fait l’objet quotidiennement. Cahiers du Cinéma

 

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