top of page
foudre 2.jpg

Du 17 au 30 Juillet 2024

Foudre 1.jpg
noir_progressif.png

FOUDRE
CARMEN JAQUIER
Suisse, sortie le 22/05/2024, 1h32


L'été 1900, au cœur d'une vallée du sud de la Suisse, Elisabeth, 17 ans, est sur le point de prononcer ses vœux après 5 ans passés au couvent. Mais la mort soudaine de sa sœur l'oblige à retourner dans la ferme familiale pour assumer son nouveau rôle d'aînée. Elisabeth se retrouve vite asphyxiée par cette vie de labeur et obsédée par les mystères qui entourent la disparition de sa sœur Innocente, qualifiée d’enfant du diable par tout le village. Elle va alors chercher à s'affranchir de son statut et de ses nouveaux engagements…

Eté 85, Conte d’été, Call me by your name : il n’est pas rare que la période estivale soit celle des idylles charnelles les plus intenses : Foudre  fait désormais partie de cette liste.

En essayant de déceler la vérité, Elisabeth se lie d'amitié avec trois jeunes hommes et une ferveur sexuelle prend alors contrôle de son corps. Et quoi de plus bruyant que le désir féminin qui s’éveille ? Malgré les regards inquisiteurs, une bouleversante amitié se met en place au sein du quatuor.

En découlent des scènes d'une extrême sensualité où les corps assouvissent leur curiosité et s’apprivoisent avec tendresse. Sans jamais tomber dans une banale représentation des premiers émois, Foudre aborde de manière sensorielle et pudique la jouissance autant émotionnelle que sexuelle d’une jeune femme en construction.


Un premier film d’une beauté incandescente. Transfuge

Dans une danse endiablée, la réalisatrice Carmen Jaquier tournoie autour de son actrice (Lilith Grasmug, d’une expressivité rare) et nous livre un coming of age onirique dont il est impossible de détourner les yeux. Saisissant. Première

Un film intense, à l’esthétique crépusculaire, qui retrace le parcours d’une émancipation féminine et féministe par le territoire, celui du corps et des paysages qui sont intimement liés par une mise en scène d’une sensualité poétique et fascinante. A Voir-à-Lire.com

« Foudre » nous fait oublier ses menues fragilités (quelques longueurs, une voix off très récitée, et parfois maladroite) pour nous frapper au cœur. Télérama

Retour.png
bottom of page