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Séance du vend. 17 nov. à 19h45 suivie d’un échange avec Mario Piquero, Chef de Service du Centre Social Mobile APMV et d’un pot convivial

DJANGO

de

D’ETIENNE COMAR

France, 26 avril 1917, 1h55

Swann d'Or du meilleur acteur pour Reda Kateb au Festival du Film de Cabourg - Journées romantiques 2017 (Edition 31)

En 1943 pendant l’occupation allemande, le tsigane Django Reinhardt, véritable “guitare héros”, est au sommet de son art. Chaque soir il fait vibrer le tout Paris aux Folies Bergères avec sa musique swing alors qu’en Europe, ses frères sont pourchassés et massacrés. Lorsque la propagande allemande veut l’envoyer à Berlin pour une série de concerts, il sent le danger et décide de s’évader en Suisse aidé par une de ses admiratrices, Louise de Klerk. Pendant cette période dramatique, il n’en demeure pas moins un musicien exceptionnel qui résiste avec sa musique, son humour, et qui cherche à approcher la perfection musicale...

Etienne Comar, qui signe ici son premier film (un poil trop long), donne à Reda Kateb un de ses plus beaux rôles. L’acteur porte le film dans chaque plan. On redécouvre avec bonheur l’étrange personnage que fut Django, diva, joueur, infidèle, attachant. Le Nouvel Observateur

 

 

 

TEHERAN TABOU

d'

D’ALI SOOZANDEH

Allemagne-Autriche, 4 oct. 2017, 1h36 – VOST

Sélectionné à la Semaine de la Critique de Cannes-2017

Téhéran: une société schizophrène dans laquelle le sexe, la corruption, la prostitution et la drogue coexistent avec les interdits religieux. Dans cette métropole grouillante, trois femmes de caractère et un jeune musicien tentent de s'émanciper en brisant les tabous : parce que briser les tabous, c'est protester ...


Le réalisateur, né en Iran, a 9 ans au moment de la révolution islamique. Il habite l'Allemagne depuis 1995. Il a travaillé comme cadreur, photographe, peintre, storyboardeur et sur les effets visuels avant de se lancer comme réalisateur dans Téhéran Tabou, son premier long métrage.

"Au-delà de la tragédie d’Hiroshima, le récit d’un quotidien modeste et envoûtant, à travers lequel se déploie tout l’éclat de la culture japonaise." Les fiches du cinéma

"Un sommet d'animation et de poésie romanesque." Studio Ciné Live

"Ample et captivant….. gardant une certaine distance avec son sujet. Sunao Katabuchi préfère suggérer sa condamnation d’un conflit destructeur. Un point de vue subtil qui a séduit deux millions de spectateurs au Japon et le jury du dernier Festival d’Annecy qui lui a remis son prix." La Croix

Du 15 au 21 novembre

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