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VENDREDI 31 JANVIER 2025 à 19H45

LES FEUX SAUVAGES

JIA ZHANGKE

     Chine, sortie le 8/01/2025, 1h 51 - VOST               

 

Avec Zhao Tao, Zhubin Li, Jianlin Pan…

 Présenté en Compétition au Festival de Cannes 2024.

 

Chine début des années 2000.

Qiaoqiao et Bin vivent une histoire d’amour passionnée mais fragile. Quand Bin disparaît pour tenter sa chance dans une autre province, Qiaoqiao décide de partir à sa recherche.

En suivant le destin amoureux de son héroïne de toujours, Jia Zhang-ke nous livre une épopée filmique inédite qui traverse tous ses films et 25 ans d’histoire d’un pays en pleine mutation…

 

Le titre chinois des Feux sauvages est Fengliu Yidai qui signifie "une génération à la dérive". Mais dans le sens littéral, "Fengliu" veut dire "vent et vague", un terme très romantique, en chinois. Jia Zangke s’en explique : "La caméra a capturé des choses que nous pensions avoir oubliées mais ce sont ces choses qui ont fait de nous ce que nous sommes aujourd’hui".

Dans Les Feux Sauvages, Jia Zangke a réutilisé des plans de ses précédents longs-métrages. On y trouve ainsi huit plans séquences de Plaisirs Inconnus, Still Life et Les Éternels : "Cela ne me gênait pas de les réemployer dans la mesure où c’était pour en faire autre chose, leur donner une autre signification que dans les films d’origine" se justifie-t-il.

Les Feux Sauvages contient plus de 20 chansons, certaines étant déjà présentes dans ses précédents longs-métrages, et d’autres inspirées par les goûts musicaux de tous les collaborateurs de Jia Zangke sur le film. Le mot "continuer…" à la fin est inspiré d’une chanson du grand rockeur chinois chinois Cui Jian, écrite pendant le COVID et qui dit : "Tu courbes l’échine et pleures pour moi, mais ton cœur me demande de continuer".

 

C’est beau, envoûtant, aussi triste qu’inquiétant. L’Obs

 

Une épopée passionnante.Le Point

 

Un film complexe, poétique et politique, indispensable pour qui suit le travail du cinéaste chinois. Les Echos

 

 Jia Zhang-ke revisite vingt ans de son pays et de son cinéma, et signe une merveille de mise en scène et de montage. Les Fiches du Cinéma

 

Injustement oublié du palmarès cannois, "Les Feux sauvages" refait briller le regard aiguisé du grand Jia Zhang-ke sur son pays. Positif

 

Le cinéma de Jia Zhangke a la faculté magique de se régénérer sans cesse et certaines séquences de Feux sauvages proviennent directement de ses films antérieurs (A Touch of Sin, Les Eternels…). Au centre du cadre la Chine mais aussi Zaho Tao, la muse qui arpente l’espace et le temps avec une douceur souveraine. Première

 

Davantage qu’une reformulation de son travail antérieur, Jia Zhang-ke en offre, finalement, une réinvention. Lorsqu’il aborde une période inédite dans son œuvre de fiction, ces cinq dernières années, le réalisateur subjugue par la puissance critique et subtilement humoristique de ses images. Télérama

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