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Du 11 au 24 Mai 2022

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FREAKS OUT
GABRIELE MAINETTI
Italie, sortie le 30/03/2022, 2h21 – VOST

Avec Claudio Santamaria, Aurora Giovinazzo, Pietro Castellito

Interdit aux moins de 12 ans


Rome, 1943, sous occupation nazie, la Ville éternelle accueille le cirque où travaillent quatre monstres, Matilde, Cencio, Fulvio et Mario, comme phénomènes de foire. Israël, le propriétaire du cirque et figure paternelle de cette petite famille, tente d'organiser leur fuite vers l’Amérique, mais il disparaît. Privés de foyer et de protection, jetés sur les routes par la débâcle allemande dans une société où ils n’ont plus leur place, les quatre « Freaks » vont tenter de survivre dans un monde en guerre… 


Gabriele Mainetti a abordé Freaks Out comme un défi : « raconter une aventure, une histoire de passage à l’âge adulte, tout en menant une réflexion sur la diversité, avec pour fond l’une des périodes les plus sombres du XXe siècle. Nous avons abordé la Rome occupée de 1943 avec émotion et respect, mais aussi en recourant à une fantaisie sans limites…. Je pense que mettre l’accent sur toutes les facettes des personnages, même les plus inattendues et les plus imprévisibles, est en quelque sorte lié à la tradition du cinéma italien, un cinéma qui n’a jamais prospéré sur le culte du chevalier en armure étincelante. » 
Le personnage de Matilde est central selon le réalisateur. Tandis qu’il qualifie ses personnages masculins de « pleurnichards », il estime que Matilde recèle une force « que je ne trouve ni chez les hommes qui m’entourent ni en moi-même, mais que j’ai toujours vue, depuis que je suis enfant, chez les femmes de ma famille, et maintenant chez ma compagne. » 


Véritable déclaration d’amour à la culture italienne, celle des anonymes, des humbles et des marginaux, ce merveilleux monstre incite à une perception poétique vomissant la norme, où les super pouvoirs définissent l’infinie supériorité de l’art sur le monde. En cela, le geste est aussi politique : exacerbant l’impureté esthétique, l’hybridité, Gabriele Mainetti s’intègre tout naturellement à sa galerie de freaks. Culturopoing

Une fresque de plus de deux heures sans temps mort où poésie, action et aventures ne font merveilleusement qu’un. Ouest France
Un film totalement hors mode, qui réussit à se moquer de la vogue des super-héros Marvel et à trouver un ton qui allie bouffonnerie et fantastique. L’Obs.
On en redemande. Ces 145 minutes ont l'air d'en durer trente. Les Américains ont du souci à avoir. Le spectacle n'est plus de leur côté. Le Figaro
Épique, poétique, cru et surréaliste à la fois, Freaks Out part (barre ?) dans tous le sens et ça lui va monstrueusement bien ! Rolling Ston
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