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Du 27 Mars au 9 Avril 2024

QUINZAINE ITALIENNE

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MOI, CAPITAINE
MATTEO GARRONE

Italie-Belgique, sortie le 3/01/2024, 2h02 - VOST

1 Nomination aux Oscars et 1 aux Golden Globes 2024 & 2 Prix Mostra de Venise 2023

 

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

Seydou et Moussa, deux jeunes sénégalais de 16 ans, décident de quitter leur terre natale pour rejoindre l’Europe. Mais sur leur chemin les rêves et les espoirs d’une vie meilleure sont très vite anéantis par les dangers de ce périple. Leur seule arme dans cette odyssée restera leur humanité…


Partir… Le rêve de Seydou et Moussa, deux gamins sénégalais, prend forme : l’Europe les appelle. Las ! Sur la route, il y a la désillusion, peut-être la mort…
Quand Seydou, à peine sorti de l’adolescence, se retrouve à la barre d’une épave destinée à sombrer avec les dizaines de migrants à bord, il devient un homme.

D’une histoire tissée par la plus banale actualité, Matteo Garrone tire un film à la charge politique explosive dans l’Italie de Giorgia Meloni. Cinéaste attentif aux tensions sociales (« Gomorra », « Dogman »), il quête la part d’humanité de ses personnages, avec une conviction évidente.

Malgré les quelques effets mélodramatiques, les valeurs défendues par le film sont les nôtres, et ces marcheurs que le désert avale, ces femmes et ces enfants jetés dans des geôles par des seigneurs de guerre, ces visages brûlés par le vent de la solitude, sont inoubliables.


Le réalisateur italien imprègne son film d’un souffle épique dans ce qui pourrait être un Lawrence d’Arabie du pauvre. Franceinfo.Culture

Dans « Moi, capitaine », le cinéaste italien Matteo Garrone se met dans les pas de deux adolescents fuyant le Sénégal pour vivre leurs rêves ailleurs. Une odyssée puissante, couronnée à la Mostra de Venise par le Lion d’argent du meilleur réalisateur. Le Dauphiné Libéré

Dans « Moi, capitaine », Garrone s'attaque à la grande question contemporaine de l'immigration. Le résultat est un film puissant qui tient autant du conte moderne que du document. Les Echos

Refusant le pensum socio ou le témoignage édifiant, Garrone montre de manière inédite la migration – parfois très dure, souvent très violente – à travers les yeux de ceux qui la vivent. Première

Un drame captivant et édifiant. Le Journal du Dimanche
 

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